L’activité de correspondance bancaire présente selon le législateur un risque spécifique de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme. La transposition de la 5e directive européenne en la matière revoit les obligations auxquelles doivent se soumettre les établissements financiers dans ce domaine. Décryptage
Retrouvez ici la tribune de Serge Durox, associé, et Alkiviadis Zissis, collaborateur, de notre équipe Droit & Conformité / Banque – Services d’investissement – Assurance publiée dans la Revue Banque d’octobre 2020.